Démarrer en douceur pour un voyage au long cours...
long/cours quelle expression, il faut savoir guider le petit peuple
la gent trotte-menu - ou plutôt flotte-menu - qui frétille dans la nasse
Encore sur le Lac... voyage des voyages, misère de notre retour faussement hauturier |
et semble prête à tout pour amener la rive loin de son cœur défendant... vers le grand large... oui grand et large à la fois
comme arrimé au monde de la réalité, mais aussi onirique et grotesque le temps bouge sans changer pour autant
renouvelé de temps à autre par la scansion fragile de nos "Rebroussez chemin !!"
comme apprivoisé je me dis que jamais le non l'emportera
et pourtant
Musée des Beaux-Arts, Dijon... aigle impérial ??? ou simple oiseau de basse-cour ??? |
dans le cinquième siècle de nos emportements il y a une lueur sans hubris
mais ubuesque ment
face aux orties de nos deuils éternels
une réaction épidermique, commandée par de minuscules muscles érectiles et savants
qui plongent nos chevelures dans un grand tremblement et les dressent
comme le fauve que nous sommes
pour tout dire !
...et nous rendre à New York pour la première fois
comme si les avantages de la vraie vie étaient
là-bas
alors que non
décidément
ils sont à l'opposé du centre dont le cercle prend acte
dans notre modeste parlement
intérieur...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire