They were glad when it grew calm,
and he guided them to their desired haven
Psalm 107:30, NIV
Me rend inquiet sur ma
capacité à traduire ces infinitésimaux de ce que lourdement j’ose
appeler l’âme, ce for intérieur dont l’habitance est comprise
entre l’animal et le (sur ?)homme, le ça et le (sur ?)moi de la deuxième
topique (mais je déraisonne, ces appellations sont surannées et
grotesques face à l’infinitude du moindre de nos ébats internes, de nos délibérations intimes).
...
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Ah ! me dis-je, endolori de tant d’incomplétude, de cette
verve facile et lâche, hélas ! qui me vient au premier jet, il faut attendre,
attendre et attendre encore, et chaque nuit allumer le phare et les
sémaphores en espérant que les Aigues-Mortes ne vont pas laisser s’ensabler tout navire
dirimant. Le port de mon plaisir sera au bout de mes efforts.
Les mortuaires splendeurs du passé rejoignent au ciel du soir les derniers rayons d'un astre rougissant d'avoir encore une fois à nous quitter sans avoir pu changer la face de notre petit monde...
Les mortuaires splendeurs du passé rejoignent au ciel du soir les derniers rayons d'un astre rougissant d'avoir encore une fois à nous quitter sans avoir pu changer la face de notre petit monde...
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