Ah ! Douleur incessante au regret
amer
Comme des pépites de chocolat pur et
sans miellat
Le supplice du goutte à goutte, de date à date |
Comme des pavanes insolites dans un
ballet nuptial
Ces sertissures de paroles
De mauvais engagements qui cerclent le
printemps
Je me charge de moi comme d’un ânon
bâté
Comme d’un rire pour de faux
Comme d’une tignasse à recoiffer
Et tous les gens autour qui crient leur
désamour
Qui criaillent et qui piaillent dans
leur basse-cour
Nous laisseront-ils rêver un dernier
temps d’aimer
Toi, toi entière comme un sourcil
dressé
Une écoute si précieuse pour mon cœur
esseulé
Ce délicieux indispensable et impensé
Retard coutumier
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