Ah ! Vertu du décor mat et des ramures verdoyantes dans leur noirceur.
Simple rigolade ou douce fatalité...
Les mots viennent sans peine à qui a déjà beaucoup peiné pour les trouver, forts de leur maturité, dans les textes sacrés des religions syncrétiques.
Car il y a une religion pour chaque auteur et un autour de la religiosité dans chaque grand texte.
Je ne suis pas à l’aise dans cet aluminium froid où penche mon stylo.
Il manque la dernière vertèbre à mon cerveau d’invertébré.
Alors je me mets à picorer comme une sittelle, j’y vais de mon crayon, de ma faible plume, je martèle avec ce bec pour faire sortir la pulpe, le sens secret, le chas de l’aiguille trop fin pour la grossière filasse de ma pensée.
Jamais cela ne tiendra en un livre, je crois.
Je serais ennuyeux, je serais plein de redites, autant de coups manqués au jeu de tricotage de mes pattes de mouche.
Je serais imberbe comme le prophète rasé à moitié par ses adversaires, humilié pour défaut ou manque d’humilité.
(...)
Notre petit rire égocentrique se love dans les qualités et la tolérance des autres, se pelotonne dans les lacis de nos enchevêtrements mutuels.
Nous hurlons de douleur mais en taiseux, toute la vie est anti-routine, l’habitude est fatale à notre liberté, semble crier notre cœur.
Roses que nos silences dribblent et que nos doigts épétalent machinalement.
Roses aux croix mystérieuses et simples, comme l’obsession des démons chez le paranoïaque.
J’aime ce thé.
Mais la force de nos prouesses, c’est la faiblesse de nos cœurs.
C’est l’églantine qui donne naissance à la rose. C’est Mendel qui fait les OGM.
Nous fleurissons nos tombes, à défaut de flétrir nos usages, et de friper nos visages nous mène à cette beauté subtile de notre plus grand malheur : qui n’est qu’une philosophie, celle d’apprendre à mourir.
La mort en je, comme une image en je.
(...) La mortelle intension tue le petit fretin de l’extension.
C’est une ressource propre.
Un emploi à pourvoir.
Simple rigolade ou douce fatalité...
Les mots viennent sans peine à qui a déjà beaucoup peiné pour les trouver, forts de leur maturité, dans les textes sacrés des religions syncrétiques.
Car il y a une religion pour chaque auteur et un autour de la religiosité dans chaque grand texte.
Je ne suis pas à l’aise dans cet aluminium froid où penche mon stylo.
Il manque la dernière vertèbre à mon cerveau d’invertébré.
Alors je me mets à picorer comme une sittelle, j’y vais de mon crayon, de ma faible plume, je martèle avec ce bec pour faire sortir la pulpe, le sens secret, le chas de l’aiguille trop fin pour la grossière filasse de ma pensée.
Jamais cela ne tiendra en un livre, je crois.
Je serais ennuyeux, je serais plein de redites, autant de coups manqués au jeu de tricotage de mes pattes de mouche.
Je serais imberbe comme le prophète rasé à moitié par ses adversaires, humilié pour défaut ou manque d’humilité.
(...)
Notre petit rire égocentrique se love dans les qualités et la tolérance des autres, se pelotonne dans les lacis de nos enchevêtrements mutuels.
Un coin de ciel gris pour oublier la canicule du Midi... |
Roses que nos silences dribblent et que nos doigts épétalent machinalement.
Roses aux croix mystérieuses et simples, comme l’obsession des démons chez le paranoïaque.
J’aime ce thé.
Mais la force de nos prouesses, c’est la faiblesse de nos cœurs.
C’est l’églantine qui donne naissance à la rose. C’est Mendel qui fait les OGM.
Nous fleurissons nos tombes, à défaut de flétrir nos usages, et de friper nos visages nous mène à cette beauté subtile de notre plus grand malheur : qui n’est qu’une philosophie, celle d’apprendre à mourir.
La mort en je, comme une image en je.
(...) La mortelle intension tue le petit fretin de l’extension.
C’est une ressource propre.
Un emploi à pourvoir.