Univers en feux d’artifice, tu nous héberges comme sur nos feux de Bengale nous hébergeons des êtres vivant (peut-être, qui sait ?) un instant et qui vont se perdre sur l’horizon indépassé du mur de Planck (another trick in the Wall ?) et des planqués...
Avec un temps à leur mesure.
Ce serait ubuesque d’interpréter notre univers selon ces critères dépassés.
Mais rien non plus n’empêche vraiment de penser à cette poupée gigogne, cette matriochka de nos élucubrations.
Un fouet mythique en forme de géant cosmique venant fouiller et réorganiser imperceptiblement le vide autour de nous.
Avec un temps à leur mesure.
Ce serait ubuesque d’interpréter notre univers selon ces critères dépassés.
Mais rien non plus n’empêche vraiment de penser à cette poupée gigogne, cette matriochka de nos élucubrations.
Un fouet mythique en forme de géant cosmique venant fouiller et réorganiser imperceptiblement le vide autour de nous.
Car notre imagination se débride à mesure que la science (la Séance) progresse.
Si bien que nous pouvons prédire, à défaut de produire, avec une certitude raisonnable que notre planète aura aussi bien un avenir heureux, puisque la vie s’en est mêlée.
Et quand la vie se met quelque part, elle s’accorde et s’accroche, elle s’adapte, elle vit et meurt tout à la fois, au même instant, et ses éclipses ne sont jamais que temporaires.
Si bien que nous pouvons prédire, à défaut de produire, avec une certitude raisonnable que notre planète aura aussi bien un avenir heureux, puisque la vie s’en est mêlée.
Et quand la vie se met quelque part, elle s’accorde et s’accroche, elle s’adapte, elle vit et meurt tout à la fois, au même instant, et ses éclipses ne sont jamais que temporaires.
Me voilà sur l’autre versant, exposé au soleil, de ma personnalité.
Je revis d’avoir été en Chine.
Les sentiments que j’ai vécus là-bas, et qui perdurent ici, sont délétères pour la sinistrose anaérobie que je me coltine en Europe.
Que je cultive malgré moi.
Je passe sans ciller d’un extrême à l’autre, car.
Puisque je devrais dire.
Enfin il y a un espoir.
Enfin, je resurgis du noir de mes habitudes.
(...)
Je revis d’avoir été en Chine.
Les sentiments que j’ai vécus là-bas, et qui perdurent ici, sont délétères pour la sinistrose anaérobie que je me coltine en Europe.
Que je cultive malgré moi.
Je passe sans ciller d’un extrême à l’autre, car.
Puisque je devrais dire.
Enfin il y a un espoir.
Enfin, je resurgis du noir de mes habitudes.
(...)
Je suis ivre de liberté, disais-je, je vibre à la mesure des vertus de l’année passée.
Personne au fond ne s’intéresse à mes états d’âme, que je prends pourtant naïvement pour une généralité, et que je présente (benoîtement) comme tels.
Mon humeur divague et lanterne, je randonne sur des sentes obliques, je glisse à chaque tentative d’acclimatation...
Je me désagrège à tous les vents mauvais pour mieux renaître dans l'abstrait.
Personne au fond ne s’intéresse à mes états d’âme, que je prends pourtant naïvement pour une généralité, et que je présente (benoîtement) comme tels.
Mon humeur divague et lanterne, je randonne sur des sentes obliques, je glisse à chaque tentative d’acclimatation...
Je me désagrège à tous les vents mauvais pour mieux renaître dans l'abstrait.