J'ai écrit comme si Dieu n'existait pas, je pense, tout en tenant compte de sa présence au monde, ce qui est paradoxal en quelque sorte.
Il s'y trouve sans doute des erreurs, des à-peu-près, des a priori, des contre-vérités donc, ce qui échappe à l'homme quand il est aux abois.
Je ne laisse pas de rechercher l'ombre fugitive sur le mur que la photo ne rend pas comme il faut, ni dans sa densité ni dans sa teneur d'ombre, de trouver l'endroit où reposent les pensées en attente de résurrections, de reviviscences, d'apothéoses (osons le mot).
Il me semble que non, décidément, rien ne vaut, après tout, la liberté du ton, le précisé et l'impromptu, pour exorciser l'absurde apparent de la vie dans ce monde dément.