Ses volontés sont des exigences de
justice et d'égalité (des chances et des malchances), des vérités
qu'elle tend à ériger en réalités communes, universelles.
Elle
fait le beau temps par sa présence et la pluie ou le grain en son
départ.
C'est du moins ce que j'ai ressenti quand nous nous sommes
quittés à Port Vila.
Tempête entre deux oreilles, sous un crâne
ou dans un cœur, pour moi, avec cyclonisation de mes perceptions
sensorielles, une radicalisation de mes recherches d'absolu.
Sans aucun absolutisme.
Cela,
c'est le symptôme, car elle est -était ?- pour ainsi
dire mon inconscient.
Mais trêve de parlure égocentrée, disons que
la force qui nous anime, nous, ses enfants désolés, c'est son
amour, qui irradie tel un foyer allumé, un focus, un centre dans nos for intimes.
Nous ne le reconnaissons pas toujours, c'est vrai. Et c'est dommage.
Mais au
fond, tacitement, elle nous dit : vivez en moi, vous mes enfants, vivez en
paix et en joie.
Dans les privations – et c'est là le problème
qui nous révolte quelque peu – dans l'accouchement difficile et
solitaire de vous-mêmes.
Dans les retouches incessantes de votre
personne, dans l'ascèse et sa répétition.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire