Je pense et je divague.
Ce n’est pas
là renouveler le mot, le monde du mot.
C’est piétiner allègrement
les galeries et les bandes-son (assez plates souvent) de Sa Majesté
des Louches.
Mauvaise pioche.
Je pense donc je me dé-truis, je perds
le sens secret, anagogique, de mes années passées, aussi bien que le vocable
familier et la phrase bien née.
Tous les dimanches je devrais
écrire, passer mon après-midi à écrire.
Ce serait un peu de
fleurs séchées autour de mon gilet de sauvetage.
Que de paroles
vraies restent cachées en soi, qui demandent l’humidité de
l’encre pour s’épanouir, grandir, se multiplier.
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